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John Gilliot s'électrise 

Cette semaine Théo Fragnière fait du bruit avec le jeune artiste en pleine montée, John Gilliot. Ce néophyte de la techno nous parle de son coup de foudre avec ce style musical et il veut tordre le cou aux idées reçues selon lesquelles la techno « c’est toujours la même chose ».

Présentation - Théo Fragnière

Attachée de presse - Elena Kallisté

Rédactrice en chef - Ivana Mikulic

Rédacteur - Eliott Smadja

Rédacteur Web - Gaëtan Pembele

Réalisation - Caroline Favre,

Photographe - Laurent Chiu

 
 
 
 
 

Sur son nouvel EP « Cyborg », l’artiste belge mélange les univers, son état d’esprit se dirige sur la techno acid. Cela ne surprend pas quand on connait un peu les inspirations de John Gilliot, dont la techno retro des années 90, l’âge d’or dans laquelle la techno acid trouve ses origines. Il aime également composer avec de la techno industrielle, style qui complète bien la techno acid selon John. Ces différents univers sont réunis dans le titre « Cyborg », titre éponyme de son projet. C’est sur cette lancée qu’il continue de tester toutes sortes de styles de techno, dans son bunker qui lui sert de laboratoire, pour s'exprimer et expérimenter au gré de ses inspirations et de ses fantaisies. Qui aurait imaginé que John Gilliot prendrait ce chemin, lui qui auparavant n'appréciait pas du tout ce genre musical.

Ayant baigné depuis sa plus tendre enfance dans la musique – à danser sur du Lou Bega notamment –, personne n’aurait imaginé, même pas lui, qu’il allait tomber amoureux de la musique techno. Lui qui est avant tout fan de musique electro, notamment de Daft Punk qu'il décrit comme ses modèles et dont la séparation l’a affecté. C’est dans le domaine Hip-Hop qu’il a commencé à produire de la musique, avant que son meilleur ami ne l’incite à écouter de la techno pendant une année. C'est au rythme de ses sorties en boîte de nuit et dans des festivals qu'il se laisse séduire par cette musique. Le coup de foudre aura lieu au D!Club de Lausanne, lors de la performance de l’artiste Rune Reilly Kölsch qui, selon les mots de John Gilliot, a fait un show extraordinaire.

C'est en rentrant de cette performance que John trouve sa voie. La prochaine étape pour ce jeune artiste, c’est d’accomplir son rêve de collaboration avec des artistes comme Amélie Lens, Carl Cox, Charlotte de Witte, mais également de faire perdurer la techno qui a commencé dans les années 80 à Detroit et qui trouvent leur place dans les plus grandes villes comme Berlin, Paris, Ibiza, Zurich. Musique qui n’a pas fini de faire bouger les boîtes de nuit et festivals dès que les conditions nous le permettront.

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